apprentie-etudiante

Je t'ai aimé soumis, le sexe serré, les yeux bandés mais ce que j'ai aimé le plus, c'est l'acceptation et l'attente dont tu faisais preuve. Il s'en faut de peu pour passé à coté de cette envie qui est la tienne et de la mienne, mais tu t'es abandonné à moi et de là est venu mon plaisir. Alors je me suis vengée de tes mots de la veille avec ses claques douces et bruyantes à la fois, je t'ai attaché pour que tu sois bien à moi et que je puisse à tout moment resserrer mon emprise. Je t'ai sucé, je t'ai léché, en prenant tout mon temps, de toutes les façons, que ton sexe soit bien satisfait, et je t'ai ordonné de me lécher, d'être ma salope, tout à mon plaisir, dévolu et soumis. J'ai eu besoin de ta faiblesse en sentant ta langue me caresser doucement, et de ma violence en réclamant tes doigts qui m'ont fouillée sans retenue. Tu m'as excitée, je n'ai pas voulu jouir et j'ai dû cesser. Alors je t'ai donné les rennes de tes liens, pour que tu les serres à ton bon gré, et ne me suis plus égarée qu'à ton plaisir, ma main en toi, plus profond ou plus vite, cette dilatation que je voulais encore plus importante et ce sexe qui me narguait de ton plaisir. ..Tu as uriné un peu mon petit salaud!: j'ai en fait apprécié que tu n'aies pas su ou voulu te retenir. J'ai aimé ce moment où c'est moi qui a gagné, où tu m'as vénérée, où la balance s'est réétablit. J'ai vengé ma tristesse par un nouveau plaisir.
Enfin, tu ne m'a pas dominée, tu ne m'as pas guidée, tu t'es laissé faire. Et je t'aime ainsi, je t'aime un peu plus à chaque nouveau plaisir et à chaque nouvelle concessions de nos corps et de nos âmes.
Mon coeur, mon amour, mon ange, mon démon, mon tendre amant...
Et mon pire cauchemard lorsque ton coeur se détache de moi, ou quand ton corps m'est absent...